Ce que nous sommes

Je me souviens il fallait décider. Décider de rester ou partir. Je me souviens que le choix était bien là devant mes yeux. Ca commence par des petites disputes et des petites trahisons, ça commence par cette conversation qu'on a avec ses proches, quand on commence un peu à le "tailler". Soit les proches ne répondent pas et c'est encore pire, soit ils le taillent et là ça fait un peu mal mais on se dit qu'ils sont sympas de ne pas avoir dit tout ça avant qu'on se mette à table pour le grand déballage et finalement on se rend à l'évidence. P**** mais c'était évident pourquoi j'étais aveugle comme ça !! Ensuite la situation est intenable, il fait agir mais on reste en proie, incapable d'avaler la couleuvre, incapable de se mouvoir hors de ces murs, incapable de dire que c'est assez. Je ne voulais pas être aigrie, je ne voulais pas me résigner. Je savais que la vie était ailleurs, qu'il fallait partir. Je restais pourtant attenda

J Hier encore j’ai lu un post sur les bienfaits de l’allaitement jusqu’à 7 ans... oui oui on en est là et une petite dame arrive telle une guerrière poster son petit commentaire sur la table. Bon entre nous elle en avait la meuf. Elle a clairement posé sa paire de boobs sur la table quoi au milieu de toutes ses « acharnées du sein » comme si elles accomplissaient le miracle du siècle et repeuplaient la planète avec leur superbe milk plus clair que l’eau des montagnes et bien plus nourrissant qu’une côte de bœuf !! Bon alors elle porte ses boobs bien haut et elle balance: «non mais 7 ans c’est pas de l’inceste presque de téter encore sa mère ? ».  Bon moi je me dis : « toi t’es une grosse couillue ma fille soit t’es dingue soit t’as du temps à tuer et tu t’ennuies, t’as envie de t’amuser un peu. » Déferlantes d’invectives publiques ... comme la bataille de Waterloo sans les armes juste à coup de phrases assaisonnées à l’ail et au smiley en tout genre. L’allégorie des